
Celui-ci menaçait en effet de cesser le travail durant vingt-deux jours répartis entre avril et août. Il proteste contre le projet de privatisation partielle de l’AENA décidé par le gouvernement espagnol.
Le compromis trouvé aujourd’hui contient notamment des garanties concernant le maintien du nombre de postes actuel dans le cadre du processus de privatisation. Il doit annuler la série de grèves prévue mais doit encore être ratifié par les employés.
Le conflit avait débuté en décembre, lorsque le gouvernement a dévoilé son projet de privatisation partielle de l’AENA dans l’espoir de réduire la dette nationale. Une grève massive avait alors eu lieu, provoquant une situation chaotique dans les aéroports et obligeant le gouvernement à faire appel à l’armée pour rétablir le trafic aérien en Espagne.
aerocontact.com
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